Je fais trois courses au village lorsqu'une femme bloque mon chemin à la sortie de la boulangerie.
Je la reconnais immédiatement.
Michèle Vernet, une ancienne amie de mes parents...
Elle a passé la grande soixantaine.
Une femme qui ne se refuse rien et certainement pas les éclairs au chocolat qu'elle doit avaler quotidiennement.
Ces femmes de province se laissent vraiment aller.
— Bonjour, Mathieu... Vous êtes de passage?
Mes parents sont décédés.
J'ai hérité de leur maison de Normandie.
Un joli petit manoir perdu dans le bocage...
Un véritable havre de paix.
J'aime m'y réfugier pour oublier le stress de la capitale.
Pour me faire oublier, parfois, aussi...
— Bonjour, madame Vernet.
— Ne m'appelez pas madame, voyons… Je suis Michèle, vous le savez bien.
— Bonjour, Michèle… Cela fait un moment...
En effet, mes parents sont montés aux cieux depuis deux ans.
Un accident d'avion privé, regrettable...
Fils unique, j'ai tout hérité.
Je n'avais pas croisé la vieille baudruche depuis l'enterrement.
— J'espère que vous n'êtes pas venu pour vendre la maison, commente-t-elle.
— Non, j'ai décidé de la garder, après tout...
— Vous avez raison... C'est un véritable bijou.
— On y va, mamie? interrompt une petite voix dans son dos.
Je ne les avais pas vues...
En réalité, je les avais bien vues mais je faisais semblant de ne pas m'y intéresser.
Question de garder une façade respectable...
En effet, la mère Michèle est encadrée par deux mignonnes petites filles de huit et onze ans.
Deux petites frimousses adorables...
Des cheveux longs...
Des petits corps fins habillés de t-shirts colorés et de shorts...
Elles portent des sandales aux pieds.
— Un moment, Magali..., réprimande Michèle à la plus petite. Je parle avec le monsieur...
Puis, se tournant vers moi, elle m'informe:
— Mes petites-filles… Que je garde pendant les vacances... Enfin, pas directement… Mon fils Victor s'est remarié, vous savez… Ma bru est arrivée avec les bras chargés...
D'un doigt tourbillonnant, la femme montre sa charge, ici présente...
— Bonjour mesdemoiselles, je dis, tout sourire, aux petites filles.
Elles ne répondent pas.
Timides, elles restent en retrait derrière la robe à fleurs de mémé.
— Cécile et Magali..., précise la grand-mère. De vrais petits anges… Mon fils aimerait bien me présenter un petit bébé garçon, tout mignon... Mais, pour le moment, c'est chou-blanc...
— Mamie, les enfants ne naissent pas dans les choux, nous éduque Cécile, la plus grande et la moins farouche des deux.
— Tu as raison, ma chérie… Mais chou-blanc, c'est aussi une formule générale pour un manque de résultat... Ou chou-noir, aussi, quand c'est pas ce qu'on attend...
Je me racle la gorge pour signaler que je commence à m'impatienter.
Je rêve de choux à la crème...
De chouquettes...
Michèle me balance alors la question.
Celle de sa manigance initiale...
— Vous utilisez encore la piscine, Mathieu?
— Oui… Avec ces chaleurs... C'est un véritable délice...
— N'est-ce pas... C'est tellement divin de se rafraîchir dans une belle eau limpide. Vos parents m'invitaient très souvent, vous savez…
Le message de la vieille peau arrive Chronopost...
Direct à son destinataire.
Je sais bien ce qu'elle veut de moi...
Elle peut toujours aller crever!
D'ailleurs, si un commando de la mort jaillissait de la boucherie pour abattre la vieille dondon, je ne lèverais pas le petit doigt.
Par contre, l'idée de ces deux petites filles chez moi...
— Vous devriez venir vous baigner, je déclare spontanément. La piscine est à peine utilisée...
Bon sang, ma libido parle pour moi!
Je vous assure que c'est ma bite qui vient de répondre.
— Nous ne voudrions pas imposer...
— Pas du tout… Passez quand vous voulez... Mais, juste pour information, Michèle… J'ai gardé la règle d'or de mes parents. Si vous comprenez ce que je veux dire…
Michèle rougit presque de la suggestion.
Elle me sourit ensuite, pleine de connivence.
— Votre père était un homme comme on les aime… Cela ne vous dérange pas si nous passons, cet après-midi? Les filles s'ennuient un peu...
— Cela ne me dérange pas du tout… Le temps est magnifique... N'hésitez pas!
— Merci, Matthieu... C'est vraiment très généreux de votre part. Alors, à cet après-midi…
— Oui, absolument.
Je les salue d'un petit signe de la tête tout en appréciant le coup de chance inattendu.
Je ne m'y attendais pas...
Bon, je dois préciser que mes parents avaient toujours eu un petit côté libertin.
Que mon père se soit tapé la mère Michèle à une ou deux reprises ne me surprendrait pas du tout.
Depuis les années soixante, années de leur belle et longue jeunesse, mes parents étaient ce qu'on appelait un couple à partouzes.
Ils étaient adeptes d'une libération sexuelle à la française poussée à l'extrême...
Paris branché...
Gauche caviar...
Et tutti au lit!
Par réaction, car les enfants ne sont jamais ce que les parents imaginent...
J'étais plutôt conservateur durant ma jeunesse.
Je m'étais d'ailleurs choisi une femme très belle, très noble et très puritaine.
Une fille d'avril comme aimait se moquer mon père.
Une fille qui ne se découvre pas d'un fil…
Glacée au lit, elle m'avait néanmoins offert deux fils qui faisaient de belles études.
Avec mon épouse, nous vivions séparés depuis des années...
Divorcer n'était pas nécessaire.
Elle avait une grosse fortune personnelle.
Elle faisait ce qu'elle voulait tout en appréciant la petite notoriété que j'avais dans le monde de la publicité et des médias.
Daphné aimait se faire inviter.
Bref...
Vous l'avez peut-être déjà deviné, je suis un pédophile.
Je ne bande plus que pour les petites filles impubères.
Tout a commencé il y a dix ans, au début de ma quarantaine.
J'avais déjà fait le tour de la sexualité ordinaire...
Je m'ennuyais.
Même une sodo ne me faisait plus rien.
La première opportunité s'est présentée lors du tournage d'une pub de couches-culottes.
Une mère voulait tellement que je choisisse sa gamine pour ces trente secondes de gloriole télévisée qu'elle a débarqué chez moi, sans prévenir, avec la petite dans les bras.
Contre tout bon sens, je l'ai laissée entrer...
Elle a déposé sa gamine sur le canapé.
La petite avait deux ans, à peine...
Une magnifique petite poupée...
Blonde...
De grands yeux bleus...
La mère était tellement désespérée qu'elle a proposé de me sucer.
Sans attendre de réponse, elle s'est mise à genoux devant moi.
Elle a baissé mon froc.
Le truc c'est que la petite n'avait pas bougé d'un centimètre.
Pendant que la mère me pompait de sa grosse bouche de pute siliconée, j'avais les yeux fixés sur sa gamine.
Bon sang, cela faisait des lustres que je n'avais pas ressenti un plaisir aussi intense.
Je sentais que mes couilles allaient éclater.
La mère a bien deviné…
Avant de gicler, elle m'a positionné devant sa fille.
Elle m'a branlé jusqu'à ce que je couvre la petite bouille de sperme gluant.
J'étais confondu…
J'étais absolument choqué par ce que je venais de faire.
— Ne vous inquiétez pas, m'avait dit la mère. Elle a l'habitude…
Du coup, sa petite était la vedette des nouveaux Pumpers.
Je ne vous donne pas de nom mais vous la connaissez.
Après ces premiers pas devant une caméra...
Une carrière dans la chanson et le cinéma...
Je suis assez fier d'être au départ de sa découverte.
Bref...
Après cette première expérience hors-norme, je me suis plongé dans un univers que je ne connaissais pas.
J'ai commencé comme tout le monde par des photos et des vidéos...
Mon métier de publicitaire, comme la plupart des médias, attire toute une bande de pédophiles tarés, plus ou moins branchés...
Les expériences avaient continué après ça...
En début d'après-midi, je prépare le terrain pour accueillir mes visiteuses.
La piscine de mes parents est un petit oasis secret.
Elle n'est pas immense...
Mais, bien fichue...
La particularité est que le grand deck est entouré d'épais buissons, formant un dédale naturel pour y accéder.
Le panneau à l'entrée est sans équivoque...
Plage naturiste, tout contrevenant sera réprimandé... Cul-nu!
C'est le genre d'humour qu'appréciait mon père de son vivant.
Comme tous les parisiens rive-gauche, moi, je ne suis pas croyant...
Mais, si y'a vraiment un paradis là-haut, j'espère que la partouze de mes parents c'est du 24/7...
Ils l'ont bien méritée.
Bref...
Tous les après-midis, je m'installe sous un parasol pour lire ou pour rêvasser.
J'aime bien qu'on me fiche la paix.
Je n'invite jamais de clients, de relations ou d'amis...
Ma femme ne vient pas non plus...
Elle détestait mes parents.
Elle n'appréciait pas l'humour déplacé du paternel.
La vulgarité honteuse, qu'elle disait…
La grossièreté du gaulois scabreux, mal élevé par un père boucher aux Halles...
Ma mère, très différente et très dans-le-coup en même temps, avait fini par accepter l'esprit Hara Kiri de mon vieux.
Mannequin occasionnelle de catalogues vestimentaires au Sentier, j'avais parfois imaginé qu'ils s'étaient, tout simplement, rencontrés sur un trottoir du quartier...
Je n'ai jamais su la vérité...
Bref...
Mes fils sont venus un peu dans cette maison mais, en général, ils s'y ennuyaient.
Elle avait très peu de confort moderne.
Pas de télévision.
Pas d'internet.
Tout ici est analogue comme au bon vieux temps de Gégé Pompidou.
Aujourd'hui, forcément, à l'idée d'avoir deux petites gamines en spectacle, c'est pas facile de trouver la sérénité.
J'espère surtout que Michèle m'a bien compris.
Qu'elle ne va pas se pointer toute seule…
Quoique...
Pour obtenir des contrats pour ma boîte de pub, je dois souvent baiser des femmes très âgées.
Franchement, cela ne me dérange pas trop...
Curieusement, ce ne sont plus que les deux extrêmes qui m'excitent.
Mais, bon…
Michèle fait vraiment province profonde.
Elle est la veuve d'un militaire de carrière qui préférait commander des Pernod plutôt que ses troupes.
Cirrhose du foie…
Bon débarras!
— Matthieu… Vous êtes là?
La voix de Michèle me met au garde à vous.
Quand on pense au loup…
Je bondis sur mes pieds.
— Oui, Michèle… Entrez… Entrez...
Michèle passe le bout du nez.
Pour l'honneur, je garde une petite serviette devant moi, juste au cas où elle serait accompagnée d'un peloton de gendarmerie.
On ne sait jamais…
Michèle avance la première.
Elle porte une robe blanche très large qui doit lui rappeler ses vacances au Maroc, un grand chapeau de paille et un gros sac de plage.
Les filles sont à un mètre derrière...
Habillées à peu près comme ce matin, elles portent juste leurs serviettes sous le bras.
Pas besoin de maillots, aujourd'hui…
— Vous allez bien depuis ce matin? me demande la mémé.
— À fond la forme, je lui réponds, en souriant.
Décidée à être familière jusqu'au bout, Michèle vient me faire la bise.
Je sens qu'elle a envie de revenir chez moi autant que possible.
Il faut dire qu'elle habite une maison du bourg...
Dans une impasse...
Intérieur sombre...
Architecture triste...
Petit jardin étroit...
Un décor de vieille France encaustiquée...
Les gamines doivent s'y ennuyer à mourir.
Je me demande bien si elles vont rester tout l'été pendant que leur maman se tape son marathon conceptionnel...
Que les deux petites en profitent parce que...
Dès que le petit messie à kiki sera né...
Elles seront reléguées au rang de boniches...
Nous sommes un pays de traditions, tout de même!
Je jette un coup d'œil vers Cécile qui fixe l'eau bleue transparente.
Magali est trop anxieuse pour montrer le bout de son nez.
Elle reste cachée derrière grand-mère.
Disons la vérité, une piscine privée c'est pas mal la galère...
L'entretien est épuisant.
Rien que le démarrage à la belle saison a de quoi décourager le plus enthousiaste.
Mais, évidemment, une fois que cela tourne bien, ce trou de béton carrelé a des avantages indéniables...
— Vous connaissez déjà les lieux, Michèle… Je vous laisse vous installer... J'ai aussi des Orangina dans le réfrigérateur. N'hésitez pas à vous servir…
À onze et huit ans, les filles, c'est pas trop bavard...
Si seulement elles pouvaient rester comme ça toute leur vie!
Je retourne vers mon matelas.
En chemin, je les laisse admirer mon arrière-train...
Que les trois se mettent à siffler me ferait bien rigoler...
Ah, ah...
Une fois allongé, je les vois entrer dans le petit cabanon qui sert de vestiaire.
On y trouve des casiers pour déposer ses habits...
Une douche...
Un WC...
Un réfrigérateur bien rempli...
Je ferme les yeux.
Je sais que je vais bander sec aujourd'hui mais j'essaie de ne pas avoir l'air trop affamé.
Des bruits d'eau me tirent de mon petit somme.
Les petites ne pouvaient pas patienter.
Du côté de l'escalier, elles entrent lentement dans le bain.
Je les dévore des yeux.
Deux magnifiques petites nymphes...
Pas un gramme de poitrine...
Deux petits abricots divins.
La piscine chauffée est à la bonne température.
Il leur faut moins de trente secondes pour s'y plonger.
J'ai sorti des ballons et des matelas gonflables.
J'espère que l'une ou l'autre aura envie de s'y prélasser.
À poil, Michèle se plante devant moi, bloquant mon cinéma…
Pas de surprise, elle est vieille et moche.
Seins lourds et tombants...
Ventre flasque...
Cul énorme tout strié...
Pubis gris en jungle désordonnée.
Je me demande bien ce que mon père lui trouvait pour l'inviter régulièrement.
— Encore merci, Mathieu… Cela rappelle que des bons souvenirs...
Je ne vais certainement pas lui demander lesquels.
— Vous avez trouvé tout ce que vous voulez?
Je remarque qu'elle a une pile de magazines sous le bras.
Closer...
Gala...
Le Point...
De la presse people comme notre pays d'intellos tarés en raffole...
— Oui, merci… Je vais me mettre, là-bas, au soleil... Pour ne pas vous déranger…
La vieille peau mate ma queue.
En haut comme en bas, j'aime bien le look barbe de trois jours...
Par contre, il y a un truc où mes parents ne m'ont pas vraiment gâté...
C'est la taille...
Franchement, la longueur de ma bite m'a complexé pendant pas mal d'années.
Même ma femme l'évoquait quand elle voulait frapper un coup bas...
Puis un jour, je l'ai enfoncée dans la chatte d'une petite de neuf ans...
Une petite actrice pour une marque de biscuits chocolatés...
Il s'est avéré que j'avais la queue rêvée pour un pédophile.
Pas trop longue...
Pas trop large...
Juste bien ce qu'il faut pour enchanter les fillettes…
La nature est rudement bien faite!
Bref...
Je souris à Michèle qui va poser son gros cul pour se cramer au soleil.
Je retourne mon attention vers les filles qui commencent à batifoler.
J'y pense...
Je n'ai pas demandé à la mamie si elles savaient nager...
En même temps, un massage de poitrine et une réanimation bouche à bouche n'a rien pour me déplaire.
Eh, eh...
Magali s'éclate le plus...
La timidité est passée.
Elles rigolent.
Elles se taquinent.
Elles s'éclaboussent.
Je sais que ça va durer alors je retourne à ma méditation.
Moi aussi, j'ai envie d'aller me baigner mais je ne veux pas brusquer ma chance.
Je ne sais pas si la vieille peau est vraiment libérée.
Que je la baise, elle…
Ouais...
Elle dirait pas non…
Je pense...
Mais, qu'en est-il des petites?
Que va-t-elle dire si Magali se met à me sucer?
Mon père, devenu célèbre photographe de mode et du show-business, n'a jamais caché son attirance pour les jeunes filles en fleur.
Il a même lancé tout un style dans les années soixante-dix pour une griffe de vêtements aux nuances romantiques.
Je n'imagine pas que les choses étaient tellement différentes à son époque...
Pour être retenues, les jeunes modèles devaient forcément donner un bon coup de langue le moment venu.
Ma mère, je crois, avait les mêmes inclinaisons chez les jeunes garçons...
Elle flirtait ouvertement avec mes copains.
Ce qui me gênait beaucoup à l'époque...
Après, pendant la récré, je n'aimais pas entendre mes camarades parler de ma mère, comme ça...
Il y a des mots qui blessent...
Alors, je n’invitais plus personne chez moi.
C'est curieux comment les enfants sont naturellement conservateurs alors qu'ils sont à l'âge de faire ce qu'ils veulent.
Comme je regrette de ne pas avoir profité de ma petite cousine Lucie...
Elle avait cinq ans de moins que moi.
Nous étions tout le temps fourrés ensemble.
Est-ce que je l'ai embrassée?
Mis la main dans sa petite culotte?
Non…
Pas une seule fois...
Quel jeune con!
Faut avouer que mon père prenait trop de place, chez nous...
Il avait la même gouaille, la même carrure que le comédien Jean-Pierre Marielle, si vous voyez...
Il aurait très bien pu le remplacer dans Les galettes de Pont-Aven.
Un été, il nous avait amené une petite anglaise de dix-sept ans...
Mon père était complètement fou d'elle...
Surtout parce qu'elle repoussait la moindre de ses avances.
Tous les matins, sa petite protégée prenait un bain à poil dans notre piscine...
Avec ses petits seins innocents et sa chatte de vierge, elle le rendait dingue.
Afin de dompter sa pouliche, il nous avait demandé de dégager le plancher.
En contrepartie...
Un voyage de rêve à Disneyland aux USA.
J'étais fou de joie.
Ma mère tirait la gueule de Paris à L.A...
Aller-retour...
L'année suivante, la petite anglaise était au Top 50 avec une réputation de jeune délurée...
Je me souviens que je me branlais avec son poster de Podium déplié sur mon lit.
J'avais treize ans.
Les deux gamines, qui sont en train de se sécher, me tirent des songes du passé.
Elles s'enveloppent dans des grandes serviettes de bain.
— Les filles, si vous restez au soleil, n'oubliez pas de mettre de la crème solaire, ordonne Michèle qui les surveille de loin.
Elles ronchonnent.
L'idée n'a pas l'air de les enchanter.
— Demandez à Mathieu, il va vous aider…
Décidément, soit Michèle connaît à fond ma réputation, soit elle est d'une naïveté accablante...
— Cela ne vous dérange pas, Mathieu? me demande-t-elle.
— Pas du tout… Bien au contraire...
Je me déplace vers le bord de mon matelas.
Je garde ma petite serviette sur mon bassin parce que, du coup, je suis certain de bander.
Enveloppée de son drap de plage, Cécile m'apporte le tube de crème solaire.
Elle pousse sa petite sœur en avant pour qu'elle soit la première.
J'aime bien les gamines un peu timides surtout quand elles se tiennent naturellement.
La petite Magali me présente son petit ventre bombé vers l'avant.
À huit ans, elle est complètement asexuée.
Pas un poil...
Pas une once de poitrine...
— Approche-toi, ma chérie, je lui souffle, en tendant la main.
La petite colle une main timide à sa bouche.
Je déverse une grosse noix de crème dans ma paume.
Je la tourne.
Je commence par le dos.
Elle ne s'est pas très bien séchée mais ça ne fait rien.
Pour les épaules et les reins, tout se passe bien mais lorsque je passe la main sur ses petites fesses, Magali ne peut pas s'empêcher de rigoler.
Je ne fais pas de commentaire.
Je reste concentré.
Enfin, je la retourne...
J'adore frotter son petit ventre.
Je saute le bassin pour passer aux jambes fines.
Enfin, j'attaque l'essentiel...
Je colle ma main libre dans son dos pour ne pas qu'elle s'éloigne.
Après une nouvelle giclée du produit, j'attaque son cou et sa poitrine.
— Ferme les yeux, je lui dis.
La petite obéit.
Je lui mets de la crème sur son visage.
Elle rit volontiers.
Enfin, d'un geste rapide, je termine par l'entrejambe.
Dès que j'y mets la main, elle recule d'instinct mais je la garde en position.
D'un geste rapide, je couvre bien la zone juste au-dessus de son abricot.
— Et, une demoiselle bien crémée, une… Suivante! je déclare sur un ton de serveur de brasserie.
Michèle ne lève pas le nez.
Elle est plongée dans son Closer...
Brad Pitt s'est fait enculer par Matt Damon, c'est marqué en gros titre.
Cécile approche.
Elle laisse tomber sa serviette éponge.
Rien à voir avec sa jeune sœur...
Elle a déjà quelques petits poils...
Sa poitrine commence tout juste à enfler.
À l'agence de pub, les onze ans, nous ne les engageons plus.
Elles sont trop âgées.
Elles ont déjà perdu cette innocence enfantine qui fait vendre n'importe quoi...
Par contre, elles sont bonnes au lit.
La dernière fois que je m'en suis tapée une, c'était le mois dernier...
Une vraie petite chaudasse que j'ai baisée pendant tout un week-end.
Elle me racontait qu'elle voulait devenir actrice de X, comme sa maman...
Quelle époque!
Je recommence l'opération de crémage avec Cécile...
De côté, moins timide, elle m'aide en appliquant de la crème sur ses bras et ses jambes...
Craint-elle que je lui caresse le ventre?
Ses petits seins bourgeonnants?
Je lui couvre le visage mais, alors qu'elle a les yeux fermés, je plonge sur sa petite chatte.
Elle ne bondit pas en arrière.
Elle se contente de regarder ma main la caresser.
Du coup, je vais plus loin qu'avec sa sœur...
Je passe un doigt le long de sa fente.
Ses petites lèvres s'ouvrent un moment.
— Voilà! Crémée de chez crémée...
— Merci, me dit Cécile, en se mordant le bas de la lèvre.
Ensuite, les deux gamines s'installent en plein soleil sur deux matelas fins.
Elles sont allongées en bord de piscine.
Elles se sont placées pour que j'ai une vue imprenable sur leurs petits abricots.
Elles ferment les yeux.
Je m'installe pour mater l'indescriptible beauté de ces minous enfantins...
Bon sang, je bave comme un loup affamé...
Je jette un coup d'œil vers Michèle.
Elle est endormie avec son magazine sur le nez.
Une mouche se pose au bon endroit...
Elle touche sa chatte grisonnante pour la chasser.
Je vois ses petites lèvres charnues qui dépassent...
Dire qu'à une époque reculée, elle avait une vulve de gamine...
C'est tout de même mal fichu tout ça…
Je pense à Daphné...
Ma femme n'a pas du tout apprécié mes nouveaux penchants.
C'est la cause principale de notre séparation...
Elle m'a fait une scène démente.
Elle m'a collé des articles de la Loi devant le nez.
Le risque insensé que je prenais!
Pas que pour moi…
Je jouais avec sa propre réputation...
Celle de nos enfants...
Elle voulait que je me soigne.
Alors, je l'ai fait…
J'ai payé pour des séances chez un spécialiste parisien.
C'était pas donné mais ça valait vraiment le coup...
Honnêtement, je n'ai jamais autant trouvé de bons plans.
Les types que je croisais dans la salle d'attente me filaient des tuyaux dont j'avais même pas idée.
Par exemple, il y a une maternelle dans le vingtième arrondissement...
Il suffit d'appeler.
Dire ce qu'on veut, garçon ou fille...
Puis, passer prendre livraison...
La première fois...
La petite m'attend sur le trottoir en tenant la main de la vieille maquerelle qui gère tout ça.
Cinq cent euros pour l'après-midi...
J'avais un peu honte alors je l'ai emmenée dans un hôtel.
Faut dire que la petite, clairement d'un milieu défavorisé, puait pas mal dans le taxi...
J'avais envie qu'elle prenne un bon bain...
C'est là que j'ai réalisé qu'elle portait encore des couches.
Je ne sais pas pourquoi, ça m'a super excité...
Surtout quand je suis entré dans l'hôtel en la portant dans mes bras...
La femme à la réception la trouvait super mignonne.
Elle s'appelle comment votre fille, qu'elle me demande...
Putain, j'avais même pas demandé son prénom.
Heureusement, la petite répond pour moi.
Aïcha.
Et t'as quel âge, Aïcha?
La petite tend le bras et lui montre trois doigts.
Et tu vas à la maternelle?
Non, je suis une pute... ça se voit pas?
Bon ça, elle ne l'a pas dit mais je l'ai pensé sur le moment et ça m'a vraiment fait marrer.
La petite rebeu, je lui ai bouffé la chatte et le cul tout l'après-midi...
Un vrai petit loukoum...
Allahou Akbar.
Merde...
Si je pense à toutes mes aventures, je ne vais pas arrêter de chauffer...
Va falloir que je me vide les couilles d'une manière ou d'une autre...
Surtout que Cécile, la moule un peu irritée par la crème solaire, se caresse discrètement devant mon nez.
Je décide d'aller me rafraîchir.
L'eau froide va me faire débander…
J'attends juste que les filles se tournent sur le ventre pour bouger discrètement...
Voilà…
Hop, c'est fait...
Je fonce...
Je me dépêche d'entrer dans la piscine.
Ni vu, ni connu…
J'éclabousse un peu.
Les filles lèvent le nez.
Je devine qu'elles ont envie d'y retourner.
Je fais quelques vagues dans leur direction ce qui provoque des réactions amusées.
Puis, décidées à me rejoindre, elles sautillent vers le bassin.
Bon sang qu'elles sont excitantes...
S'il n'y avait pas la vieille duègne…
Enfin...
Je m'amuse dans la piscine avec les filles.
Le grand classique c'est de les laisser plonger pour qu'elles me passent entre les jambes.
J'ai noté que Cécile ouvrait les yeux sous l'eau.
Elle a envie de voir ma queue de près...
Magali est presque plus coquine.
Elle plonge moins bien que sa sœur alors elle se heurte parfois à mon bas-ventre.
Elle remonte en rigolant.
Le fait-elle exprès?
Si elle rate sa plongée, je l'attrape par en-dessous et je la jette au loin dans l'eau.
J'ai, selon le moment, la main sous ses fesses ou carrément entre ses cuisses.
Elle éclate de rire à chaque fois.
Elle a tellement l'air de s'amuser que Cécile en devient jalouse.
— Moi aussi… Moi aussi...
Cécile est à peine plus lourde.
Une main sous le cul, je la projette au loin...
Un vrai délice.
J'ai noté que Michèle s'est redressée.
Comme c'est un peu body-body notre jeu...
Elle nous regarde avec suspicion mais ne fait pas de commentaire.
Au bout d'un moment, je suis vanné.
Je m'installe contre un bord du bassin à l'ombre.
Cécile me rejoint.
— Vous êtes marié?
— Oui...
— Elle est où vot' femme?
— Je ne vis plus avec elle… On fait juste semblant... Comme toi avec ton petit ami…
Ma remarque un peu débile la fait rire de gêne.
Elle s'éloigne...
Elle prend le ballon gonflable qu'elle fait rebondir sur sa main.
J'adore la regarder bouger.
Elle est à un mètre de moi.
J'ai envie de caresser ses petits seins...
De planter ma langue dans sa bouche...
D'enfoncer un doigt dans son petit cul serré...
Putain, j'ai soif…
Je quitte le bassin en prenant le temps d'exhiber mon corps nu.
J'ai bien bronzé ces derniers jours.
Je fais aussi attention à moi...
Je ne suis pas hyper musclé mais je présente plutôt bien pour un mec de cinquante ans...
J'avance à demi-bandé...
Je me laisse admirer.
Sans me sécher, j'entre dans le cabanon.
J'ouvre la porte du réfrigérateur.
J'apprécie le nuage de frais qui s'échappe.
J'attrape une bière bien glacée.
Lorsque je me retourne, elle est là…
Michèle!
Putain...
Une de ces gueules...
Elle s'est enveloppée d'un grand foulard de toile qui va de ses miches à son con.
Elle me toise assez sévèrement avant de dire...
— Vous pouvez y aller, Mathieu...
— Pardon?
— Les filles… N'hésitez pas si l'envie vous en dit... Moi, je m'en fiche complètement… Au contraire... La nouvelle femme de mon fils est une vraie connasse... C'est peut-être un trophée mais elle a déjà bien roulé...
Je suis complètement perplexe.
Michèle me prend la canette de bière de la main.
Elle ressort du cabanon sans rien ajouter.
Je suis un peu déstabilisé sur le moment...
Je souffle un moment avant d'attraper une deuxième Seize...
Si, j'ai le OK de la vieille, alors je ne vais pas me gêner.
La seule question que je me pose c'est…
Par laquelle commencer?
Laquelle me fait le plus bander?
C'est le hasard qui décide pour moi.
Cécile vient juste d'entrer.
Elle est jeune et jolie...
Toute nue...
Elle me fait craquer.
Alors, je n'hésite pas…
Elle a pas tout à fait une tête de moins que moi alors je me penche un peu en avant...
Je pose mes lèvres contre les siennes.
Une fille de son âge va toujours se laisser faire.
C'est soit une surprise totale...
Soit une attente exaucée...
Le résultat est à peu près le même.
Je colle ma main gauche contre l'arrière de sa nuque.
Je la tire un peu vers moi tout en forçant ma langue dans sa bouche.
Elle se laisse faire.
Elle est en contact avec ma queue qui s'est mise à bander violemment.
Je tourne trois fois ma langue avant de m'écarter...
Je quitte alors le cabanon sans rien ajouter.
À elle de méditer ce qui vient d'arriver…
Exposer ma pleine érection, cela m'est complètement égal, à présent...
Je craque la languette de la canette pour attirer les regards.
J'avale une grosse gorgée en homme comblé...
Magali, en bordure de bassin, ne voit plus qu'une seule chose…
Ma queue bien dressée.
Michèle, qui boit sa bière à demi-immergée sur les escaliers, ne peut pas s'empêcher d'admirer.
Putain, que c'est beau un mec!
Et que c'est bon de bander en homme naturel...
Bander à l'air!
En public!
Je retourne sur mon matelas comme si de rien était.
Moi aussi, j'ai amené un peu de lecture...
J'ouvre le dernier numéro de la Gazette du Pédophile, publiée, sans interruption, depuis 1886.
J'aime bien leur slogan...
À la limite de la société.
C'est exactement là que je veux vivre...
Je veux pouvoir faire tout ce que je veux.
Il n'y a que cela qui compte pour moi.
Libre de faire tout ce que j'ai envie.
J'ai cette pensée en tête lorsque Cécile approche...
— Tu me fais une petite place?
Je me pousse un peu.
Elle vient s'allonger contre moi.
Bon sang que ces gamines sont intelligentes.
J'adore ça…
L'intelligence, c'est ne pas avoir peur de prendre de l'initiative...
L'intelligence, c'est de savoir ce qu'on veut.
Je pose ma lecture.
Je me tourne vers elle.
Nos visages se rencontrent.
Nous nous embrassons.
Le baiser est long et délicieux.
Je caresse Cécile de la main.
Son bras...
Sa hanche...
Sa cuisse...
Son ventre...
Ses seins...
Le monde n'existe plus.
Ni Michèle...
Ni Magali...
Il n'y a plus que Cécile qui se tortille sous mes doigts lorsque je la caresse doucement.
Après ce très, très long baiser, je lève tout de même le nez.
Personne…
Nous sommes seuls.
Michèle et Magali ont dû aller se promener dans le parc boisé...
J'apprécie la discrétion de la vieille.
C'est peut-être cela qu'appréciait mon père chez elle…
Je retourne aux embrassades.
Je caresse la vulve de Cécile...
Elle écarte un peu plus les cuisses.
— Tu l'as déjà fait? je lui demande nonchalamment.
— Oui.
Pas besoin d'ajouter quoi que ce soit.
J'ai très envie.
Elle mouille, elle aussi.
Je veux qu'elle me chevauche.
Dans cette position, je peux mieux voir la chatte de la gamine, bien fermée, qui s'ouvre autour de mon gland.
La plus belle fleur du jardin…
Cécile comprend mon intention.
Elle se positionne à califourchon au-dessus de moi.
Elle guide ma queue bandée de la main.
Elle se laisse pénétrer très doucement...
Elle a beaucoup plus d'expérience que j'imaginais car elle frotte la zone de son capuchon en même temps.
Ce truc-là, quelqu'un le lui a montré...
Arrivée au fond, elle me regarde fièrement en passant une mèche de ses cheveux derrière son oreille.
Putain, qu'elle est belle!
Putain, que c'est bon!
Bien empalée, Cécile ne monte pas de haut en bas mais avance le bassin d'avant en arrière.
Elle ferme les yeux tout en continuant de se caresser.
J'ai les mains sur ses hanches fines.
Je donne le rythme.
Pas la peine d'aller trop vite...
Le plaisir est d'avoir ma queue bien loin en elle.
Je la remplis complètement.
Pas un millimètre de libre.
Elle est délicieusement serrée.
Elle commence à gémir.
J'écarte un peu ses fesses.
Je glisse un doigt le long de son périnée.
Ses gémissements augmentent.
Je caresse sa poitrine de l'autre main.
Je joue avec son mamelon...
Je ne sais pas si elle a envie de recevoir mon sperme.
Je m'en fiche un peu…
Pour le moment, je laisse faire.
Elle commence à se tordre franchement.
Puis, elle se penche en avant...
Elle cherche ma bouche.
J'enfonce ma langue à la rencontre de la sienne.
Je remonte les mains pour pincer la pointe de ses petits seins.
Elle réagit de délice...
Je la laisse accélérer.
Putain, je sens que ça monte.
Elle va me faire…
Cécile serre volontairement les muscles de son vagin.
Elle devine ma montée.
Je râle...
Je la tiens fermement en place pour me vider en elle.
Quel pied!
Je n'arrête pas de gicler.
Elle frotte son capuchon en rotations rapides.
Je la sens se contracter...
Putain...
Je n'ai jamais été avec une gamine qui massait une queue si bien...
Il lui faut un peu plus de temps mais elle finit par se faire du bien.
Elle baisse le nez contre mon torse pour cacher le petit râle enfantin de sa jouissance.
Bon sang, je baise beaucoup de gamines mais en général je suis le seul à vraiment m'éclater.
Cécile sait se faire du bien…
Je nous tourne ensuite sur le côté.
Elle a le visage tout rouge...
Ma queue glisse de sa fente.
Le sperme coule partout sur la serviette.
Je m'essuie la tige.
— Ça va? je lui demande.
— Oui.
Elle masse le sperme autour de sa vulve comme si c'était une crème de beauté.
Elle n'ajoute rien...
Bon sang, j'adore ce côté discret des gamines.
Pas la peine de faire de longs discours...
Pas d'états d'âme...
Pas de salades...
Le genre de femme que je voudrais épouser…
Allongée sur le côté, Cécile reprend son souffle.
Puis, sans prévenir, elle se lève d'un bond.
Elle fait cinq pas et saute dans la piscine en criant...
— BA-ZOU-KA!
Elle remonte à la surface après deux brassées.
Elle pose les mains sur le bord pour me regarder.
Je lui lance un baiser à la Aldo Maccione ce qui la fait sourire.
Au même instant, Michèle et Magali reviennent de leur promenade…
De voir sa sœur dans l'eau, la petite ne résiste pas.
Elle saute à l'identique, en criant d'un rire gras...
— BA-ZOU-KAKA!
Michèle s'installe sur le matelas à ma gauche.
Est-ce qu'elle nous a vus?
Peut-être…
Probablement...
Je m'en fous...
— Quelle belle journée..., me dit-elle pour entamer la conversation. Quelle chance nous avons, n'est-ce pas?
— Je suis le plus chanceux des hommes d'avoir trois déesses, chez moi...
— N'exagérez pas, Mathieu… Mes jours de beauté sont loin derrière moi.
— Allons, Michèle… La vie, il faut savoir en profiter… Est-ce que vous savez que mes parents n'ont jamais arrêté de baiser? L'inspecteur de l'aviation civile a parlé d'une jarretelle malencontreusement coincée dans le manche à balai…
— Ils étaient tellement beaux ensemble... Un couple en harmonie parfaite... Mon mari m'a été imposé, vous savez… Je voulais autre chose de la vie... Je ne voulais pas me priver... Mais, femme d'officier… Que voulez-vous… Y'avait jamais plus qu'un ou deux régiments pour me fourrer!
Tout en rigolant grassement, la vieille femme pose sa main droite sur ma queue.
Je ne bande pas vraiment mais je la laisse me caresser.
— Je crois que nous voulons tous la même chose, ajoute-t-elle. Mais… Nous n'arrivons pas toujours à le formuler...
Je regarde au loin...
Le choc vient de Cécile et Magali...
Elles s'embrassent!
En bord de piscine, devant mon nez…
Un baiser lesbien...
Incestueux...
Deux gamines...
Bon sang, je bande immédiatement.
Du coup, Michèle croit que c'est à cause d'elle.
Elle se penche en avant pour me sucer.
Cécile s'éloigne de sa sœur.
Elle joue avec le ballon mais, du coin de l'œil, me regarde me faire pomper.
Je lui fais une grimace du genre, je suis bien obligé, quoi…
Elle me sourit avec complicité.
Elle soulève alors son index et mime le geste de l'enfoncer dans un cul.
Je comprends sa suggestion...
Je lèche mon majeur deux ou trois fois.
Je l'enfonce loin dans l'anus de la mamie.
Cécile éclate de rire.
Magali, aussi...
Michèle lève le nez...
— Vous savez, Mathieu… J'ai les petites pendant toutes les grandes vacances... J'espère que nous pourrons revenir souvent...
— Tous les jours si vous voulez.