Je m'appelle Claude Guillot.
J'ai quarante-trois ans.
Je suis professeur d'anglais dans un collège privé pour jeunes filles d'une ville moyenne de province.
Imaginez que vous ameniez votre petite fille de onze ans pour la rentrée de sixième.
Vous me rencontrez pour la première fois.
Qui voyez-vous?
Une femme d'allure conservatrice, accueillante et professionnelle.
Je porte des lunettes.
Des cheveux mi-longs.
Des habits soignés, de coupe classique.
Comme je l'explique aux parents, j'attache beaucoup d'importance à la réussite et à l'épanouissement de mes petites élèves, tant sur le plan scolaire que personnel.
Du coup, vous êtes tous rassurés.
L'excellente réputation de l'institution catholique n'est pas usurpée.
Et, pourtant…
Et pourtant, j'incarne la plus monstrueuse des déceptions.
Je suis un loup féroce.
Un loup, déguisé en mouton.
Voyez-vous, je ne suis pas une femme, comme je prétends l'être.
Je suis un homme.
Pire que cela, je suis un redoutable pédophile.
La fourberie ne s'est pas réalisée en quelques jours.
Il s'agit du développement de toute une vie.
Physiquement, j'ai toujours été plutôt androgyne.
À l'école, je suis petit, maigre et peu développé.
Autant vous dire que je suis le souffre-douleur de mes camarades de classe.
Je m'isole.
Je développe un caractère secret.
Plus tard, je suis heureux d'aller à l'université.
C'est en m'éloignant du foyer familial que je peux me réaliser.
Je me suis inscrit en DEUG d'anglais, matière où j'ai des facilités.
Je loue un studio, loin du centre.
Un jour, un peu par curiosité, je décide de me travestir.
J'achète par correspondance des habits féminins.
J'apprécie l'expérience.
Lentement, j'améliore mon apparence.
Je laisse pousser mes cheveux blonds.
Je perds beaucoup de poids.
J'apprends à m'épiler le corps.
Je me crème quotidiennement.
Petit à petit, mon allure se féminise.
Je n'aspire pas à être une femme sexy, une sirène toute en courbes.
Au contraire, je préfère une allure fine, plate et rectiligne.
En ne pratiquant aucun sport ou activité physique, mes bras, mes jambes et mes épaules s'affinent.
Je ne fais pas cela pour séduire des hommes.
Je veux créer une illusion.
Le plus difficile n'est pas le physique mais la voix.
Je dois apprendre à parler comme une femme.
Du coup, je me mets à fumer.
Les gens tolèrent une voix un peu plus basse de la part d'une fumeuse.
Usant d'un magnétophone, j'adoucis le ton.
J'éclaircis ma diction.
En ajoutant une gestuelle féminine à mes propos, je suis plus convaincant.
Ensuite, il suffit de s'y tenir.
Ce projet de transformation individuelle m'occupe pendant toutes mes études universitaires.
Je ne fréquente pas les autres étudiants.
Dans la semaine, à la fac, je suis Claude, un drôle de type solitaire qui se cache sous la capuche de son sweat.
Dès que j'ai un moment de libre, enfermé chez moi, je suis Claude, une jeune femme en devenir.
Je porte des collants.
Des jupes.
Des twin-sets.
Des escarpins.
Des manteaux cintrés.
Lorsque je me regarde dans le miroir, je deviens, semaine après semaine, de plus en plus crédible.
Pareil à un comédien qui travaille le personnage d'une carrière, j'ai la discipline de persévérer.
Mon but est la réalisation de mes fantasmes pédophiles.
Je veux corrompre des petites filles!
Satisfait de ma métamorphose, je me lance.
Très progressivement, j'essaie mon nouveau moi.
Au début, je roule jusqu'à la ville voisine pour m'y promener.
Je vais surtout faire du shopping dans des boutiques féminines pour voir comment je suis accueilli.
Je bluffe tout le monde.
Les autres femmes me prennent pour l'une d'elles.
L'après-midi, je vais au parc.
Je m'approche des mamans.
Je m'installe sur un banc pour lire un livre.
J'entame des conversations.
Avec mon allure sérieuse, très anodine, elles m'acceptent bien volontiers.
Nous parlons.
J'évoque mes espoirs d'avoir, un jour, des enfants (vous voyez l'ironie…).
De briser mon isolement, en rencontrant quelqu'un à mon goût (hi, hi, hi…).
J'admire leurs petites filles.
Je complimente leurs beautés.
On me les présente.
Je pose des questions sur l'école.
Sur les activités.
La confiance se fait naturellement.
C'est très excitant…
J'obtiens mon Capes, diplôme universitaire qui me permet d'enseigner.
Je suis professeur d'anglais des collèges.
Après ma titularisation, je recherche un poste dans le privé.
Ayant hérité d'une belle somme d'argent de mes parents décédés, je peux prendre le temps de choisir.
Je trouve la ville idéale.
Un collège de filles.
Catholique et traditionnel.
La directrice, lors de mon entretien, pense recevoir un homme.
Claude Guillot...
Mon prénom est trompeur.
Sur la fiche de recrutement de l'Éducation Nationale, il y a même marqué, sexe masculin.
J'explique que c'est une erreur administrative qui me poursuit.
Difficile de faire corriger la bévue.
Ravie de notre entretien, elle me met à l'essai.
Je m'y donne sans compter.
Je suis sympathique avec les autres professeurs.
J'aide de toutes les façons que je peux.
Après trois mois, je suis adorée par toutes.
Mes élèves raffolent de mes belles manières.
De mon excellente culture.
De ma diction impeccable et, je le pense, de mon charme discret.
Le loup est entré dans la bergerie.
Un loup affamé, certes, mais un loup patient.
La première année, je la passe à observer, tout en me réjouissant de la supercherie.
Quelques collègues masculins en profitent pour me draguer.
Je joue à la prude, vite effarouchée.
Je ne suis pas intéressé.
Par contre, je suis aux petits soins pour mes élèves.
Faire des petites bises, en cas de gros chagrin.
Poser une main caressante sur une tête, pour encourager.
Avec le temps, mon approche s'affine.
Il faut bien choisir, dans le lot, une petite chérie, afin de tenter l'impossible.
Je ne vais pas vous raconter toutes mes conquêtes, année après année.
Laissez moi plutôt vous expliquer ma méthode en parlant de l'année en cours.
Le premier jour de classe, après les grandes vacances, je débute ma recherche.
Je ne m'intéresse qu'aux petites de sixième.
Celles qui viennent juste d'arriver au collège.
Onze ans, pour un pédophile, c'est l'âge parfait.
Des filles prépubères, presque des enfants, obéissantes et dévouées.
La brebis idéale est fille unique.
Plus les parents ont divorcé tôt, meilleur c'est.
Ensuite, la mère doit avoir une activité éreintante.
Finalement, la petite doit être intelligente.
Je ne m'intéresse pas aux sottes ou aux têtes en l'air.
En début d'année, je prends mon temps.
J'analyse les candidates potentielles parmi mes deux classes de trente élèves.
Je fais des listes.
Je fais des comparaisons.
Je sélectionne.
Cette année, j'ai débusqué la petite Capucine.
Onze ans.
Sa mère, divorcée depuis cinq ans, est infirmière-anesthésiste au grand hôpital universitaire de la ville.
Elle veut le meilleur pour sa fille mais, pour une maman seule, souvent appelée aux urgences à toutes heures, ce n'est pas facile de s'en occuper.
Je prends le temps de m'intéresser à Capucine.
Elle est souvent seule à la maison.
Pas de famille proche, en ville.
Pas trop d'activités extra-scolaires.
Elle aime la lecture et les grands sentiments.
Parfait…
Ensuite, je deviens amie avec la mère, Fabienne.
Je l'invite en ville, à boire un café, pour parler du comportement de sa fille, dont le caractère solitaire m'inquiète.
J'apprends toutes les horreurs sur son ex-mari.
Je m'amuse parce qu'il est pédophile, lui aussi.
Elle l'a pris, la main dans le slip, en train de se faire une cam avec une mineure des Philippines.
Elle a ensuite découvert sa collection de films et de photos.
L'horreur totale!
La mère outrée l'a aussitôt mis à la porte.
Je compatis avec Fabienne.
Je confirme que ces comportements masculins sont particulièrement odieux.
Les hommes sont des êtres abjects.
Des pervers dégoûtants.
Moi même, j'ai appris ma leçon.
Je préfère le célibat.
Une vie de vieille fille catholique…
Ce qui la rassure beaucoup.
Bien vite, je propose de m'occuper de Capucine quand son travail l'accapare trop.
J'ai de la chance parce que Fabienne travaille tous les samedis.
Alors, je passe prendre Capucine, chez elle, en fin de matinée.
Nous ne restons pas dans notre ville de peur de rencontrer d'autres élèves.
Nous roulons jusqu'à la ville voisine, plus importante, à quarante minutes d'autoroute.
J'ai de l'argent.
Je la gâte.
Je lui achète des petites choses excitantes pour son âge.
Capucine est une petite fille très mignonne.
Toute fine.
Toute droite.
Elle est brune.
Les yeux marrons.
L'innocence même.
Dans les magasins, les vendeuses pensent que je suis la maman.
J'adore lui acheter des robes.
Je l'emmène dans la cabine d'essayage pour admirer son petit corps fluet.
Elle ne porte pas encore de soutien-gorge.
Elle a juste deux petits cônes, un peu enflés, et des minuscules aréoles autour de ses mamelons.
En petite culotte Petit-Bateau, Capucine est à croquer.
Je me retiens difficilement de ne pas lui sauter dessus.
Lorsque nous allons au cinéma, je lui prends la main pendant le film.
Parfois, elle se colle contre mon épaule pour se sentir appréciée.
Pour sentir mon parfum.
J'ai besoin du premier trimestre avant d'aller plus loin.
Une circonstance, le mauvais temps en général, va l'amener chez moi.
C'est dans mon appartement bien chaud, bien confortable, que j'ose l'embrasser amoureusement pour la première fois.
Elle se laisse faire.
Je sais que je la fascine.
Ces petites filles, comprenez-vous, sont branchées sur le romantisme.
Trop souvent seule, Capucine a envie d'une relation personnelle, depuis longtemps.
Je la caresse avec beaucoup de féminité.
Nos baisers sont profonds et délicieux.
Je lui demande de ne pas parler de nos étreintes.
Surtout pas aux autres filles de la classe.
Surtout pas à sa mère.
C'est notre grand secret.
La corruption commence toujours par l'amour tendre.
Maintenant, je dois amener Capucine jusqu'à la perversion.
Notre complicité, surtout en ville, atteint un nouveau niveau.
Nous faisons des activités de grandes.
Une manucure.
Un massage chez une professionnelle.
Au cinéma, lorsque nous allons voir des films, nettement plus adultes, je lui caresse le haut des cuisses.
Je connais un bar un peu sombre.
Je bois un verre d'alcool.
Je fume.
Capucine a envie d'essayer.
Je la laisse coller ses petites lèvres au filtre.
Elle se sent sophistiquée.
Sous la table, je caresse sa jambe.
Une autre fois, j'ai de la chance.
Je reçois un texto de la mère.
Coup de feu aux urgences (sic).
Est-ce que Capucine peut rester jusqu'au soir?
Pas de problème.
Je la ramènerais en voiture.
Est-ce que les mères se doutent de quelque chose?
C'est possible...
Le phénomène observé est toujours le même.
Leurs petites filles s'épanouissent à mon contact.
Elles pensent, peut-être, à leurs propres jeunesses.
Laquelle n'a pas été amoureuse d'un prof, surtout féminin?
La facilité prend le dessus sur les inquiétudes.
Et puis, je suis un éducateur tellement respecté.
Strict et conservateur.
Et, la petite a l'air tellement heureuse de m'accompagner…
Alors, elles laissent faire.
Le crescendo sexuel vient naturellement.
Un jour, avec Capucine, nous allons acheter des sous-vêtements dans un salon de lingerie.
Je propose un string.
Les petites filles adorent les strings.
C'est leur premier vêtement sexuel.
Pas pour ramener chez elle à la maison mais pour porter chez moi, quand elle est avec moi.
C'est dans la cabine d'essayage, sous les yeux de la vendeuse, qui apparemment est aussi pédophile que moi, que Capucine essaie son premier string érotique, transparent sur le devant.
Elle est folle de joie.
Moi, j'admire sa petite fente toute lisse.
Lorsqu'on rentre chez moi, je lui demande de me le montrer.
De se promener avec.
C'est là que je lui fais l'amour pour la première fois.
Non, ce n'est pas comme vous l'imaginez...
Je veux qu'elle jouisse.
Qu'elle expérimente le premier orgasme de sa vie.
J'ai de l'expérience.
Je sais comment la placer sur le canapé.
Je ne travaille qu'avec la bouche.
J'ai lu beaucoup de livres sur l'orgasme féminin.
Je sais faire jouir une petite fille.
À onze ans, sorties d'un milieu bourgeois, elles n'ont pas idée de ce que cela représente.
Si elles se sont caressées, c'était mal fait.
Elles ne connaissent rien de leur organe sexuel.
Elles ne savent pas que le clitoris, sous son capuchon, n'est que la pointe de l'iceberg.
C'est une zone entière qu'il faut stimuler.
À un âge comme celui de Capucine, il faut y mettre beaucoup de talent.
Je la fais jouir, avec ma langue, trois fois d'affilée.
Trois fois!
Elle est tellement bouleversée qu'elle en devient folle amoureuse.
Elle pense que je suis une magicienne.
C'est après, que je lui donne un cours détaillé sur son organe sexuel.
Je suis catastrophé de la mauvaise éducation des petites filles dans notre pays.
Le clitoris est un énorme organe interne qui s'étend jusqu'à l'anus.
Il réclame d'être approfondi, dès le plus jeune âge (lol…).
Capucine boit mes paroles.
C'est toujours très intéressant d'apprendre en détail, ce que la société veut occulter.
On se sent initié.
Car, pour aimer le sexe, il faut bien le connaître.
Du coup, elle en veut encore...
Je lui promets de recommencer bientôt.
Hélas, je dois la ramener à la maison.
Mais, chut!
Pas un mot à maman...
C'est notre grand secret.
Durant toutes ces activités de pédophilie avancée, je bande très fort.
Heureusement, j'ai une astuce.
Je porte un slip pour travestis, à compartiment, qui habille les hanches et donne l'effet d'avoir une vulve.
Je ne crains pas trop que Capucine me caresse spontanément.
Les filles de onze ans n'ont aucune expérience amoureuse.
Elles ne font rien de leur propre initiative.
Je contrôle toujours la situation.
Après cette première étape, je dois jouer serré.
Je sais que Capucine pense à moi sans arrêt.
C'est normal…
Une expérience pareille, à tous les âges, transforme votre vie.
Je prends alors de la distance.
Je lui fais ressentir comment ce serait si nous étions séparés.
Je lui dis que je suis allé trop loin.
Que c'est de ma faute…
J'en suis honteux.
Et puis, si ça se savait, je perdrais mon emploi.
Je serais chassé de l'école.
Je l'aime tendrement mais elle doit me jurer de ne rien dire.
Jamais!
Pendant toute sa vie!
Alors, c'est elle qui vient vers moi…
Elle veut cette relation heureuse.
Elle veut cet amour adulte avec moi.
Les filles sont programmées pour tout ça.
L'amour, chez elles, est un sentiment authentique.
Capucine ne peut pas se douter que toutes mes paroles ne sont qu'une manipulation pour la mener à une corruption totale.
Le serment de garder le secret est mis à l'épreuve.
J'invite chez moi la mère et la fille.
La mère, afin qu'elle apprécie ma qualité de vie.
Mon sérieux.
Mes livres.
Jamais d'hommes dans mon lit.
La fille, pour voir comment elle se comporte sous pression.
C'est là que l'intelligence est clé.
Une fille intelligente comprend que la déception est de rigueur.
Si je parle candidement de ma vie amoureuse à sa mère, c'est un mensonge qui nous concerne toutes les deux.
Elle doit demeurer de glace.
Indifférente au domaine amoureux des adultes.
La dernière étape, avant l'amour débridé, c'est la révélation de mon secret.
Le samedi suivant, je fais jouir Capucine chez moi, plusieurs fois, jusqu'à ce qu'elle me demande…
Et toi?
Je joue alors la comédie…
Je simule la honte.
Je lui explique que je suis né avec une terrible malformation.
Je suis une femme, comme elle voit, mais, j'ai un pénis d'homme.
L'idée la rend folle de curiosité.
Il faut absolument qu'elle s'en rende compte par elle-même.
Nous nous mettons sur mon grand lit.
J'ai pris soin de me préparer.
Je me déshabille devant ma petite partenaire, déjà nue.
Je lui montre ce sexe étrange, tout lisse, tout beau, qui bande pour elle.
Elle n'en a jamais vu.
Elle veut le toucher.
Pour information, je ne suis pas équipé d'une queue de cinéma.
Mes petites dimensions s'appliquent aussi à mon sexe.
Et puis, je suis épilé de partout.
Je suis aussi lisse que la petite.
Rien de disgracieux.
Mieux encore, j'utilise un spray qui donne à ma verge un petit goût sucré.
Les petites filles sont rarement effrayées.
Elles ont tellement fantasmé sur l'appendice masculin que cette réalité nouvelle les enchante.
Capucine a tout de suite envie de me sucer.
Après ses orgasmes, elle est dans un bon état d'esprit.
Elle est prête pour la découverte.
Et, ça tombe bien, je suis professeur de langues (lol...).
Si vous n'avez pas une petite de onze ans qui vous suce régulièrement…
Désolé, mais vous ne savez pas vivre.
La petite bouche de Capucine est divine.
Cela fait des mois que je me prépare à ça.
Mon plaisir est immense mais je ne veux pas forcer.
Au bon moment, pour ne pas l'effrayer, j'éjacule sur son petit ventre plat.
Elle est fascinée par le sperme.
Elle le touche.
Elle goûte du bout d'un doigt.
Pour lui montrer que c'est bon, je me charge de la nettoyer avec ma langue, ce qui la fait rigoler.
Je lèche mon sperme sur sa petite poitrine, au creux de son nombril et dans la rainure de sa fente.
Et puis, comme j'y suis, je la fais jouir une nouvelle fois.
Capucine comprend que dans l'amour physique, il faut se laisser aller.
J'adore ses petits cris étouffés…
Au premier orgasme, je me glisse contre elle.
Nous nous retrouvons tête-bêche.
Si vous n'avez pas une petite de onze ans pour un 69 régulier…
Désolé, mais vous passez à côté de ce que la vie offre de meilleur.
Capucine est, dès le premier jour, amoureuse de ma queue.
Elle est si souple, si lisse et si moelleuse.
Un peu avant de jouir, je lui demande:
— Tu veux goûter le sperme?
— Oui!
— Aspire bien, il y en aura moins cette fois…
J'essaie de me synchroniser sur son plaisir mais elle est trop gourmande.
Je me vide dans sa petite bouche d'enfant.
Je la laisse se débrouiller parce que je veux, tout de même, la faire jouir.
J'adore son petit goût de foutre.
Il n'est pas très abondant mais c'est un vrai délice.
Allons, je vous nargue une troisième fois...
Si vous ne goûtez pas régulièrement au foutre d'une petite fille de onze ans...
Désolé, mais vous vivez une existence sans intérêt.
Après une petite toilette dans ma salle de bain et un bon chocolat chaud, je raccompagne ma petite chérie chez elle.
Sa mère nous attend sur le pas de la porte.
J'ai un petit moment d'appréhension mais, à la manière dont Fabienne embrasse sa fille, je sais que tout va bien.
—Vous avez passé un bon après-midi?
— On a surtout fait des révisions… Capucine est très douée pour les langues. J'espère qu'elle s'inscrira l'année prochaine pour le voyage en Angleterre.
— Vous emmenez toute la classe?
— Uniquement les meilleures… Capucine a toutes ses chances. Sinon, je l'aiderais pendant les vacances… Elle pourra venir chez moi.
— Vous êtes vraiment trop gentille, Claude. Vous entrez prendre un verre, avec moi?
— Merci, Fabienne, mais je dois conduire… Au revoir.
À la mine de la maman, je vois que c'est une femme très seule.
Elle passe de longues heures au travail.
Elle aimerait bien un peu de compagnie.
A-t-elle envie d'une femme?
C'est fort possible…
À la façon dont elle m'a décrit son ex, je devine qu'elle ne veut plus de queue dans sa chatte.
Elle ne sait pas ce qu'elle manque…
Une fois ce moment intime passé, la petite est à moi.
En général, c'est le moment où j'offre un premier jouet sexuel.
Pour Capucine, la mode cette année, c'est le Lovense.
Les gamines adorent.
Un petit gadget rose, genre boule de geisha vibrant, qu'elles s'enfoncent dans le vagin.
La petite antenne dépasse.
Commandé par une appli de smartphone, on peut régler l'intensité.
Un vrai délice.
Mes petites de cinquième en ont toutes.
Les sixièmes s'y mettent doucement.
C'est fou ce que les filles se sexualisent de plus en plus jeune.
Je n'aime pas rester le samedi toute la journée à la maison, même si c'est au lit avec Capucine.
J'imagine des scènes érotiques pendant mes cours d'anglais.
J'aime bien essayer de les réaliser.
L'autre jour, j'emmène Capucine chez Jacadi.
Elle est un peu grande pour la marque mais j'aime aussi les toutes petites filles.
On fait semblant d'essayer des robes mais, dans la cabine d'essayage, je me fais sucer.
Une fois, c'est dans une stalle des toilettes de la galerie marchande.
Capucine est assise sur le WC, culotte baissée, moi je suis devant elle.
Je joue à la mère, tracassée par les coliques de sa fille.
On laisse la porte entrouverte.
Des mères et leurs filles passent à un mètre de nous.
En réalité, j'ai relevé le devant de ma jupe.
Capucine a ma queue dans la bouche.
Si Fabienne, la mère, me demande de garder sa fille plus longtemps, je continue alors son initiation.
Le moment est venu de la déflorer.
Elle n'a pas encore ses règles.
Je ne crains rien.
Ma petite Capucine, déjà experte en fellation, est un peu nerveuse à l'idée d'une pénétration.
Chez moi, je lui demande gentiment si elle veut franchir cette étape.
Elle me dit qu'elle est prête.
Pour lui faciliter la chose, c'est plus facile si c'est elle qui s'empale sur moi.
Elle choisira l'intensité.
C'est toujours ce que je recommande pour la première fois.
Capucine a une petite chatte extrêmement serrée.
En ajoutant un peu de lubrifiant, je la guide.
Je l'encourage.
Le poids de son corps est un atout.
Ce n'est pas une position facile.
Après un moment, les cuisses fatiguent.
On se laisse tomber.
Déchirer l'hymen d'une gamine de onze ans est un de mes moments préférés de l'année scolaire.
Capucine transpire.
Elle serre des lèvres.
Elle parvient à s'enfiler sur moi.
Elle me sourit, heureuse d'être au but.
Ensuite, plutôt qu'un va-et-vient de ma part, je lui dis de bouger d'avant en arrière.
Elle sent ma queue bouger en elle sans avoir à se tracasser de la douleur.
Pour l'aider, j'ai un vibromasseur à grosse tête que je positionne au-dessus de son capuchon clitoridien.
Mon plaisir à moi, c'est surtout d'éjaculer loin dans sa petite chatte.
Quel pied!
Ensuite, sans me retirer, je la place, d'un mouvement rapide, sur le dos.
C'est alors seulement que je me soustrais.
J'ai une serviette humide à portée de main.
J'essuie les dégâts.
Je la couvre de baisers.
Je lui promets que nous allons recommencer dans une semaine.
Elle est très impatiente.
C'est mieux d'attendre car les douleurs pourraient mettre la puce à l'oreille de sa mère.
Pour la calmer, nous fumons une cigarette au lit.
J'adore voir cette petite bouche de onze ans avaler la fumée comme une grande.
C'est tellement excitant de corrompre une enfant.
Quelque temps après, j'emmène Capucine dans un hôtel cinq étoiles.
J'aime bien un peu de luxe, de temps en temps.
J'ai réservé une belle chambre dans une ville un peu plus éloignée.
J'ai pris la vue sur le lac.
Nous arrivons pile à quatorze heures.
La chambre est prête.
Capucine n'a jamais vécu d'expérience aussi luxueuse.
Elle saute sur le lit pendant que je commande du champagne et du caviar.
Aujourd'hui, je veux faire l'amour à ma petite maîtresse comme un véritable amant.
Lui montrer les positions qu'un homme préfère.
Le Dom Pérignon est amené par le groom pendant que Capucine se déshabille dans la salle de bains.
Elle revient toute nue.
Je lui offre une coupe de champagne.
Je la photographie, assise sur le fauteuil Louis XV, avec ses jambes un peu écartées en train de boire de l'alcool.
Bien vite, j'ai ma bouche collée à son intimité.
Je lèche comme d'habitude jusqu'à l'amener à la limite de l'orgasme.
Je me déshabille vite.
Je défais le lit pour ne laisser que le drap blanc.
Je la couche en travers.
Pas la peine de me sucer, je suis dur comme de l'acier.
Capucine est lubrifiée.
Elle n'est plus vierge.
Donc, je peux y aller...
Je la pénètre avec virilité.
Sans hésiter.
Tout de go!
Jusqu'au fond!
Capucine crie tant la sensation est intense.
Elle poursuit par un râle de gorge.
Je la couvre de baisers tout en commençant le va-et-vient.
Je veux éjaculer, le plus vite possible, dans sa petite chatte.
Je ne suis pas intéressé par son plaisir.
Aujourd'hui, c'est ma journée.
Des mois et des mois de travail pour y arriver.
Bien vite, mon plaisir culmine.
Je jouis dans la petite chatte serrée.
Je reste enfoncé.
J'attends un instant.
Capucine est toute secouée par l'intensité.
Je me retire.
J'attrape mon portable.
Je veux filmer le sperme qui coule de ses petites lèvres bien écartées.
Capucine relève le visage.
Merveilleux!
Je nettoie Capucine de ma langue.
Cette fois, je vais la faire jouir.
Elle l'a bien mérité.
Pas une goutte de sang.
Pas une plainte, après...
Cette enfant est dorénavant prête pour me servir.
Moi et tous les pervers qui viendront après moi...
On a beau critiquer, c'est tout de même formidable l'Éducation Nationale.
Après ce premier acte, nous retournons boire du champagne.
Capucine a un peu la tête qui tourne.
Je lui demande de me parler de sa mère.
Est-ce qu'elle a des amants?
Est-ce qu'elle a des gadgets dans le tiroir de sa table de chevet?
Capucine n'en sait rien mais elle va espionner.
Ensuite, je lui demande de parler des autres élèves de la classe.
Les plus délurées, les plus romantiques et celles qu'elle aimerait bien séduire.
Parce que la corruption doit se propager.
Je lui donne des idées pour commencer…
L'année prochaine, Capucine, très expérimentée, aura ses petites camarades pour assouvir ses nouveaux appétits.
Je lui explique comment organiser une soirée pyjama qui dégénère en léchage de minous.
Comment initier un 69 lesbien.
Je lui indique où sont les lieux de rencontres pour gagner un peu d'argent.
Par exemple, les toilettes du cinéma sont un endroit où les pédophiles acceptent volontiers.
Pendant le film, il suffit d'attendre dans un coin, du côté des hommes.
Un mari ou un père de famille, qui a bu trop de boisson gazeuse, s'y dépêche pendant le film.
S'il voit une gamine, il va lui demander ce qu'elle fait là.
« C'est vingt euros, avec la main. Cinquante euros, avec la bouche... »
Une opportunité que peu d'hommes résistent.
Comme ça, Capucine n'aura jamais de problèmes d'argent de poche.
Les petites se donnent vite le mot.
Ce n'est qu'à partir de la quatrième que mes anciennes se prostituent véritablement.
Il y a des sites de rencontres.
Des applis.
Des cams.
Nous vivons dans un monde technologiquement merveilleux.
À parler de tout ça avec Capucine, un peu saoule, je veux encore baiser.
Cette fois, je la veux en levrette sur le fauteuil.
Elle me suce pour me faire durcir puis je la positionne.
Elle est encore mouillée.
Comme c'est la seconde fois aujourd'hui, je vais durer.
Je vais y mettre toute ma fougue.
Je veux la voir transpirer.
Se tortiller sous mes coups de boutoir.
Je ne suis pas une femme douce et câline.
Je suis un homme pervers que rien n'arrête.
La seconde fois, c'est l'orgasme cinq étoiles.
Le meilleur depuis le début de l'année.
J'en mets partout.
Le sperme qui coule de Capucine salit la soie du fauteuil.
Je m'en fiche.
Ce sera à la femme de ménage de frotter.
Puis, comme j'ai envie de fumer, je m'enveloppe de la robe de chambre blanche.
Je me mets sur le petit balcon.
Il ne fait pas trop froid.
Je demande à Capucine de me sucer pour me nettoyer.
Vous voyez, à partir de maintenant, elle fait tout pour moi.
Une élève soumise…
Je termine le champagne.
Nous avalons le caviar sur toast.
Capucine n'aime pas du tout.
Elle recrache tout sur la moquette, ce qui me fait bien rigoler.
Nous avons le temps pour une troisième fois.
Je la veux ouverte au maximum, sur le lit, en train de plier ses genoux bien haut, en se tenant les chevilles.
Je prends des photos avant de m'enfoncer en elle.
C'est l'amour en gros plan, les yeux dans les yeux.
Je lui demande de me fixer.
De se noyer dans mon regard.
Le trouble d'aimer le visage d'une femme alors qu'une queue d'homme la perfore.
De quoi raconter plus tard, à son psy...
La troisième fois, c'est plus de vingt minutes de va-et-vient.
Je suis en forme.
Je la fais jouir vaginalement.
C'est la position idéale parce que le clitoris est particulièrement ouvert et exposé.
Le frottement sous la cavité est très intense.
J'y vais de ma gymnastique des délices.
Bien vite, la petite a les yeux révulsés comme une petite droguée.
J'adore ce visage d'enfant abusée.
Je continue de la pénétrer.
Elle orgasme.
J'accélère.
Elle orgasme une seconde fois, à l'instant où je vide tout ce que j'ai encore en moi, dans un râle de dément.
Si les voisins ne savent pas ce que nous faisons, c'est qu'ils sont sourds.
Voilà ce que j'appelle un après-midi bien rempli (lol...).
Nous passons dans la salle de bain pour une toilette rapide.
Je regarde Capucine pisser.
Pour l'amuser, j'use de ma langue comme papier toilette.
Les gamines adorent ce genre de petit geste fou.
Bien vite, nous sommes prêts.
La chambre est un champ de bataille.
Tant pis pour le petit personnel…
Je ramène Capucine chez elle.
Sa mère, comme d'habitude, nous attend sur le perron.
Nous nous faisons la bise.
Elle ne remarque rien.
Nous avons avalé des pastilles à la menthe pendant le trajet de retour.
Je me suis parfumé abondamment comme je le fais d'habitude.
Encore une fois, Fabienne veut m'inviter à boire un verre.
Je refuse.
Je dis que je suis épuisée.
— Allons un verre, ça ne fait pas de mal... On peut encore conduire, après...
Je sens qu'elle me veut.
Je refuse, encore une fois, mais en lui faisant la bise, j'effleure ses lèvres.
Juste pour la troubler, un peu mieux.
La semaine suivante, j'ai envie que Capucine me suce au cinéma.
Je l'emmène voir la Reine des Neiges.
Elle rechigne.
Trop bébé!
C'est pour me faire plaisir, j'insiste...
Elle comprend.
La salle est pleine, comme toujours, de petites filles qui ont vu ce navet des dizaines de fois.
Les mères sont tellement ennuyées qu'elles restent dans le foyer à bavarder.
Nous nous mettons au milieu de la salle.
Comme anticipé, nous avons des gamines tout autour de nous.
Le film démarre.
Jusque là, rien de particulier sauf que je caresse Capucine.
Tout en regardant l'écran, je lui prends la main.
Je la guide sous ma jupe.
Depuis que je baise Capucine, je ne porte plus de sous-vêtements le samedi.
Elle me masturbe de sa main.
Je sens que nos mouvements attirent l'attention de la gamine sur ma gauche.
Elle doit avoir cinq ou six ans.
J'écarte ma jupe pour lui montrer…
Ma queue bien dressée.
Je pousse la tête de Capucine.
Je veux qu'elle me suce pendant la Reine des Neiges, avec la petite voisine qui nous regarde faire.
Quel scandale!
Quelle folie!
Quel pied!
Capucine avale tout.
Je lèche ses lèvres.
Nous partons avant la fin du film.
J'emmène ensuite ma petite chérie faire des courses.
Nous retournons au magasin de gadgets.
La vendeuse est toujours un peu choquée de savoir que je viens dans sa boutique avec ma fille.
Je laisse Capucine découvrir toutes les possibilités.
Je lui achète un Miss V Bubbles, un jouet de perles anales.
C'est une série de sphères jointes qu'on s'enfonce dans l'anus.
La circonférence des boules augmente petit à petit.
Une petite poignée en latex dépasse pour le retirer.
Capucine a envie de l'essayer, immédiatement.
Patience, ma petite chérie…
Je le garde pour le moment.
Je lui explique que ce sera pour la prochaine grande occasion.
Pour finir notre journée nous allons dans le bar où j'aime fumer.
Je commande un gin et un tonic, séparés.
Nous sommes un peu seuls.
Le serveur apporte la commande.
Une fois qu'il a le dos tourné, je verse le gin dans le tonic.
Il est pour Capucine.
Lorsque le serveur nous regarde, je fais semblant d'avaler mon verre d'un trait.
J'allume une cigarette pendant que Capucine aspire le cocktail alcoolisé avec la paille.
Je commande un Negroni.
Nous parlons de ce que nous avons vu dans le magasin.
Des dizaines de choses à explorer.
Par exemple, ils ont des bougies de massage.
On allume et ça chauffe la cire liquide.
On se la verse ensuite sur le corps pour se masser.
Je n'ai pas encore essayé mais je suis tenté.
Capucine a vu un gode vibrant, taille adulte, qui la fait craquer.
Elle aimerait bien l'avoir à la maison.
C'est envisageable, mais elle doit le garder dans son cartable sinon sa mère va le trouver.
Par contre, elle pourra le montrer aux autres élèves pendant les pauses.
J'imagine toutes ces petites pucelles, curieuses de l'objet, et Capucine qui se fait du bien avec la porte du cabinet ouverte.
Je lui dis tout de même de faire attention.
Si madame Mercier, la directrice, le confisque, elle ne le verra plus jamais.
C'est cette vieille salope qui se fera du bien, à nos frais…
Ce qui nous fait bien rigoler.
J'allume une cigarette.
Je la donne à Capucine.
Le serveur hausse des épaules.
Elle fume comme une grande maintenant.
La semaine prochaine, je lui achèterais un paquet.
J'aime bien garder un souvenir de toutes mes conquêtes des années passées.
Mes trophées...
La preuve que j'ai accompli l'objectif que je m'étais fixé.
Après, je suis motivé pour recommencer à zéro, une fois les grandes vacances passées.
La photo que j'aime bien faire, c'est la petite nue, avec son cartable sur le dos, qui écarte ses fesses pour me montrer son anus.
C'est très excitant un cul de petite fille.
À un moment ou à un autre, il faut que j'y glisse ma queue.
Capucine est prête pour la dernière grande étape de sa corruption.
J'ai tout mon temps puisque la mère m'a demandé, aujourd'hui, une faveur.
Est-ce que Capucine peut passer la nuit?
Fabienne, grippe-sou, trouve que sa fille est trop âgée pour une baby-sitter mais elle ne veut pas la laisser seule.
Je demande les raisons…
J'apprends que la mère a rencontré quelqu'un.
Elle a une liaison avec un chirurgien du CHU.
Le seul problème…
Il est marié.
Je joue à l'amie choquée.
Est-ce une bonne idée?
Si ça s'apprenait?
En temps que femme très catholique, je lui conseille d'être forte, de refuser la tentation et de ne plus voir cet homme, trop libertin.
Fabienne me dit qu'elle ne peut plus reculer.
Elle a honte.
Mais elle est si désespérément seule…
Elle se met à pleurer.
Elle ne sait pas comment je fais…
(Si seulement elle savait…)
Je lui dis que je mets beaucoup de foi en Dieu, pour me guider.
Peut-être qu'elle ne va pas assez à l'église?
Je lui dis de venir prier avec moi, les dimanches.
Fabienne est confuse.
Pleine de remords…
Moi, j'adore.
C'est fantastique!
Tout un samedi, plus la nuit…
Capucine va avoir droit au grand jeu.
Son cul va goûter au plaisir divin (lol...).
L'expérience débute chez moi.
La petite doit être préparée avant de sortir.
Après nos embrassades coutumières, je lui demande de se mettre à quatre pattes sur le canapé.
Elle porte une jupe plissée bleue marine.
Un chemisier blanc.
Un bandeau dans les cheveux.
Je lui retire sa culotte blanche.
Je remarque qu'elle porte son Lovense.
Je la questionne.
Elle me dit qu'elle le porte tous les jours.
À l'école, c'est le délire.
Les petites s'envoient des vibrations les unes aux autres, pendant les cours.
Surtout lorsque la victime est interrogée au tableau.
Je m'amuse des jeux érotiques qu'elles font dans mon dos.
Pendant qu'elle me raconte tout ça, je retire son Lovense qui, du coup, est de trop.
Puis, j'enduis l'anus de Capucine de lubrifiant.
J'amène le gadget acheté la semaine dernière.
Je le lui enfonce, très doucement.
Après plus d'effort que je ne pensais, Capucine a les trente centimètres de billes anales enfoncées loin dans le cul.
Juste la petite poignée noire qui dépasse.
C'est excitant à voir.
Je lui demande de marcher un peu pour voir quelle sensation ça lui fait.
Elle est très échauffée.
C'est clairement une expérience troublante.
Je lui demande de sortir aujourd'hui sans porter de culotte.
Elle accepte volontiers.
Nous partons faire nos courses habituelles.
Après une heure, Capucine est habituée avec son jouet anal.
Nous commençons par un magasin de vêtements alternatifs, un peu à l'écart du centre.
Ils ont une section avec des petites tailles, ce qui m'a toujours un peu étonné.
Je suspecte qu'il y a pas mal de pédophiles dans cette ville, malgré sa réputation de bourgeoisie coincée.
Capucine est fascinée par le décor et l'atmosphère.
Du latex.
Du pvc.
Elle essaie un petit blouson noir moulant.
Une jupette.
L'élément que je recherche, c'est un corset à sa taille.
Elle l'essaie.
Parfait.
Je l'emmène ensuite dans un salon de thé très chic.
L'endroit a des nappes blanches.
Des services en métal argenté.
Je caresse la vulve de Capucine qui a remonté sa jupe.
Sous la table, elle est complètement exposée pendant que les grand-mères et leurs petites filles sages boivent leurs thés sans rien remarquer de ses hoquets.
Nous terminons par des courses alimentaires, puis nous nous hâtons de rentrer.
J'ai trop envie de sodomiser Capucine.
Le summum de sa corruption…
Chez moi, je nous mets dans l'ambiance.
Éclairage tamisé.
Musique douce.
J'ai acheté des sushis et du saké.
Je mets la table.
Ensuite, nous nous préparons.
J'emmène Capucine dans la salle de bain.
Je la déshabille.
Je la coiffe.
Je la maquille.
Je lui mets le corset noir que je serre autant que possible.
Sa taille est minuscule.
Vue comme ça, avec ses yeux charbonneux, ses lèvres rouges, elle ressemble à une enfant prostituée.
C'est délicieux!
Je la photographie sous tous les angles.
Ensuite, je me prépare…
Pour la première fois, je change de style.
Je me fais une queue de cheval retenue par un nœud de velours.
Je porte une chemise blanche ample.
Un gilet noir.
Une paire de jeans.
Je suis redevenu un homme.
Lorsqu'elle me voit ainsi, Capucine est troublée mais séduite.
Nous passons à l'apéritif.
Nous fumons une cigarette en bavardant de choses obscènes.
J'essaie de lui expliquer toutes les perversions possibles.
Ce qu'une femme et un homme, ou tout autre combinaison de genres, peuvent faire ensemble.
Je lui explique que les hommes n'aiment que le cul.
Il faudra toujours qu'elle se laisse sodomiser par ses amants.
Il faudra qu'elle soit soumise à tous les caprices masculins.
Par exemple, beaucoup d'hommes aiment qu'on leur pisse dessus.
Mais, ce qu'ils aiment plus que tout, c'est pisser dans la bouche grande ouverte d'une petite fille.
Il faudra qu'elle se laisse faire.
Elle me demande si on va essayer, nous aussi?
Oui, très certainement…
Mais, j'attends les vacances de printemps.
J'aime le faire dans le vestiaire des femmes à la piscine municipale.
De préférence, s'il y a des petites filles dans les parages.
On continue à parler du vice sous toutes ses formes, ce qui nous excite beaucoup.
Ensuite, nous passons à table.
Je veux manger mon sushi de sa petite chatte.
Je lui montre comment.
Elle a les jambes bien écartées.
Je positionne les petits rouleaux de sushi entre ses petites lèvres.
Je les mange ainsi après l'avoir photographiée.
C'est délicieux.
Capucine n'aime pas le poisson cru.
Pendant que je me régale, elle fume une cigarette au cannabis.
Finalement, nous sommes tellement excités que nous passons dans la chambre.
Pour commencer, nu, à quatre pattes, je veux que Capucine me lèche l'anus.
Elle hésite un peu…
Ayant fumé un joint, elle se laisse facilement convaincre.
Elle me lèche l'anus tout en me masturbant par le bas.
Bien vite, c'est elle que je positionne à quatre pattes.
Je prends la petite poignée du jouet anal qui dépasse de son cul.
Je tire, sans hésiter…
À chaque fois qu'une boule sort, elle lance un petit cri.
Libérée, elle me présente un cul bien ouvert.
Je lubrifie, puis je m'y enfonce doucement.
Un peu…
Puis, un peu plus loin…
Puis, encore un peu plus loin…
Enfin, je suis au but, au fond de son petit cul.
Je la sodomise sans retenue, car c'était bien mon intention depuis le début de l'année.
Labourer le petit cul serré d'une fille de onze ans a de quoi vous rendre fou.
Rien ne peut égaler ce plaisir!
Plaisir physique mais aussi plaisir de conquête.
Tout ce que nous avons vécu.
Tout ce que nous avons fait.
J'ai atteint le sommet!
Je lui mets son cartable sur le dos pour la photo trophée.
Capucine est maintenant autant obsédée par le sexe que moi.
Être pénétrée, touchée, caressée, c'est tout naturel pour elle.
Et, nous avons encore tellement de choses à essayer…
La séparation en fin d'année scolaire est toujours un peu difficile.
Capucine part en colonie de vacances.
La dernière fois que nous baisons ensemble, je lui explique comment je fonctionne.
Je suis professeur de collège.
Chaque année scolaire est un recommencement.
Elle est triste mais, je lui dis qu'elle ne doit pas arrêter de baiser.
Commencer par séduire ses petites camarades.
Aller avec des adultes aussi, dès qu'elle le peut.
Même dans sa famille…
Passer plus de temps avec son papa lui ferait certainement du bien.
Et surtout, m'envoyer des photos de tout ce qu'elle fait.
Je lui donne des astuces pour séduire hommes et femmes.
Si elle se comporte en petite prostituée, elle aura tous les amants qu'elle voudra.
Et puis surtout, qu'elle n'oublie jamais de se faire payer.
Des cadeaux.
De l'argent.
Rien n'est jamais trop beau pour une petite catin.
Après la colo, Capucine ira chez ses cousines au bord de la mer.
Une grande maison avec toute la famille.
Je sais qu'elle va y passer un bon moment.
De mon côté, je m'isole.
Je me ressource.
Je dois retrouver la tranquillité.
Je me promène seul dans la nature.
Je suis, de nouveau, ce personnage de femme vierge, prude, catholique et conservatrice.
Après, le mois de septembre arrive vite.
Des nouvelles classes de sixième...
Un nouveau défi.
Et Fabienne? En ramenant Capucine chez elle le matin, après sa première nuit de sodomies, j'ai un peu fouillé dans l'ordinateur de la mère.
J'ai trouvé une photo de Fabienne, très intime, en compagnie de son nouvel amant.
J'ai transmis le cliché, anonymement, à l'épouse du chirurgien…
J'ai juste signé...
Un ami qui vous veut du bien.