— Que se passe-t-il ici..?
Une voix fracassante interrompt la petite assemblée.
Toutes se tournent vers l'entrée.
La porte de la chapelle se referme lourdement.
La mère supérieure remonte la travée.
Son visage est caché par l'obscurité.
— Ma mère, nous ne…, bafouille Sidonie, d'un ton alarmé.
— Silence..! Je suis la seule à pouvoir parler...
La mère supérieure avance dans la lumière.
Flavie lève le nez.
Sous son costume de nonne, elle reconnaît Jacqueline.
Derrière ses lunettes, elle arbore un air de furie.
— Que faites-vous ici, toutes les trois..? Qui est cette petite..?
— Une novice, ma mère..., précise Rosalie qui, quoique inquiète d'avoir été surprise, ne semble pas être gênée par sa nudité.
— La petite Flavie est arrivée au couvent depuis quelques jours seulement..., explique Lolotte, en baissant le nez.
— Et vous l'entraînez déjà dans vos odieux libertinages..?
— Non, ma mère… C'est la petite qui nous a suivies...
Jacqueline soulève le menton de Flavie qui tremble de terreur.
— C'est vrai, ça..? Parle, mon enfant…
Après la scène de torture de Constance, Flavie est doublement terrifiée.
— Je… Non…
— Mon Dieu, quel magnifique visage d'ange… On la croirait tombée du ciel... Qui l'a livrée chez nous..?
— C'est sa belle-mère..., précise Sidonie. Elle n'en voulait plus chez elle...
— Pourquoi donc..?
— La petite aurait proposé ses charmes à des inconnus.
— Une petite catin..., se réjouit la supérieure. Alors, c'est une bénédiction de plus pour nous... Cela fait longtemps que je n'ai pas soumis une si adorable créature...
Jacqueline serre Flavie contre elle qui se défend et tente de la repousser.
— Un caractère revêche de surcroît… Apprenons-lui ce qu'est la foi chrétienne... Sidonie, va me chercher un faisceau de verges pour que j'éduque convenablement ce petit cul... Et puis, déshabille-toi, toi aussi… Je veux vous voir foutre toutes les trois, pendant que j'étrillerai la petite nouvelle...
— Non, pitié..., crie Flavie, affolée.
Jacqueline qui lui tient le poignet de force, la secoue méchamment.
— On dit, ma mère… Je suis la mère supérieure de ce couvent, petite catin... Ne l'oublie jamais..!
Flavie ne sait comment se comporter.
— Pitié, ma mère… Pitié...
— La pitié n'existe pas dans ce monde, tu le sais bien… Sinon ta belle-mère ne t'aurait point enfermée ici... Rosalie… Lolotte… Tenez fermement cette petite gourgandine, le temps que je me prépare...
Les deux femmes empoignent Flavie, chacune par le haut d'un bras.
Sidonie revient nue, en tenant des verges de bouleau nouées d'un ruban rouge.
Jacqueline défait sa robe qui tombe à ses pieds.
Cette fois, ce n'est pas la femme de beauté mais la femme âgée.
Fripée...
Ridée...
Seins pendants...
Pubis gris...
Jacqueline pose délicatement ses lunettes de côté sur une chaise de paille.
Flavie est terrorisée de la voir ainsi.
Un cauchemar...
Elle se met à pleurer.
— Tournez-la..! Présentez-moi ce petit cul que je le corrige comme il se doit.
— Non..! Pitié..! Pitié, ma mère..! hurle Flavie.
— Tes cris ne font qu'augmenter ma turpitude, bel enfant… Mon con mouille de t'entendre supplier...
Flavie est positionnée.
Les deux femmes la forcent à se courber afin que son derrière soit proéminent.
Sans hésiter, Jacqueline lance les verges contre le cul de Flavie.
L'adolescente hurle sous l'impact de cette première agression.
— Sidonie, viens me sucer le cul pendant que je la fustige... Lolotte et Rosalie, caressez-vous, lascivement…
Les jeunes femmes obéissent.
Les verges tombent à répétition.
Flavie hurle sous chaque coup.
— C'est ton Dieu qui, de ma main, te châtie, mon enfant… Pour toutes les mauvaises pensées que tu as eues... Pour toutes les infamies que tu as fait subir à ta jeune sœur... Je sais qui tu es... Sale catin..!
Jacqueline frappe de plus belle.
— Non..., crie Flavie. C'est faux..! Pitié… Je vous en supplie...
Le cul de Flavie se met à saigner.
— Je sais ce que tu as fait… Ton père me l'a raconté pendant qu'il m'enconnait... Par jalousie pour ta petite sœur, tu as vendu ton cul à un affreux giton dans la promesse qu'il éliminerait celle qui te gênait.
— Non..! Non..! hurle Flavie. C'est pas vrai..! Vous êtes folle..!
— Folle..?! Je suis ton châtiment, petite garce… N'oublie pas que c'est Dieu qui te juge pour tes crimes... Regardez mes sœurs, le sang perce... N'est-il pas de plus beau spectacle qu'un cul de pucelle bien griffé..? Tenez la bien, vous deux… Il faut que j'y darde la langue...
Rosalie et Lolotte resserrent leur étau.
Sidonie s'empare des verges.
Jacqueline se place derrière le cul ensanglanté de Flavie qu'elle couvre de baisers.
Elle écarte les fesses meurtries pour lécher le bouton de rose.
— C'est vous qui… C'est vous qui avez tué, Constance...
— Moi..? s'insurge Jacqueline. C'est toi qui a commandé ce crime… Ce meurtre est le tien, immonde traînée..! Même si tu n'as pas tenu la dague qui l'a tuée... Tu as désiré, plus que tout au monde, la mort de l'innocente enfant… C'est qu'il n'y a pas de vengeance plus douce pour toi puisque son meurtre multiplie au centuple les tourments de ta belle-mère...
Furieuse d'entendre ces paroles, Flavie se démène.
Ce n'était donc pas un rêve..?
Ou bien, est-ce le cauchemar, à présent..?
— Non..! Non..!
— Ah, il faut que je l'encule..., se réjouit la mère supérieure. Sidonie..!
Sidonie a anticipé.
Elle présente à la mère supérieure une ceinture godemiché.
— Quelle taille souhaitez-vous, ma mère..? lui demande Sidonie.
— La plus grosse possible… Je veux déchirer cette petite...
— Non..! Non..! crie Flavie.
— Êtes-vous bien sûre, ma mère..? s'inquiète Rosalie.
— Cette jeune novice doit payer... La plus grosse, j'ai dit… Placez-la contre le maître-autel... Rosalie, tu vas t'agenouiller sur ses épaules et tu me présenteras ton cul. Lolotte, prends ton gode, toi aussi… Je veux que tu m'encules, en même temps... Et toi, Sidonie, grimpe sur l'autel au-dessus de Rosalie et branle-toi devant moi... J'ai quelque chose à te demander…
Flavie est placée comme souhaité.
Sidonie installe une petite estrade afin que Jacqueline soit mieux positionnée.
— Regarde, Flavie... Admire, le monstre qui va t'enculer...
Avant de le placer dans la ceinture-harnais, Jacqueline montre à Flavie l'énorme godemiché qu'elle lui réserve.
Particulièrement réaliste et ferme, il fait une dizaine de centimètres de diamètre et trente centimètres de long.
— Non, ce n'est pas possible… Vous allez me tuer...
— Dieu que cette petite sait trouver les mots pour m'exciter...
Toutes sont maintenant en place.
Jacqueline fixe l'énorme appendice dans l'emplacement.
Elle serre la ceinture autour de sa taille.
— Pitié..., hurle Flavie. Pitié..!
L'orage violent semble éclater juste au-dessus de la chapelle.
Les éclairs ajoutent une note irréelle.
Le tonnerre qui s'ensuit est assourdissant.
Jacqueline enduit le gland d'un lubrifiant.
Elle approche du cul déjà si malmené.
Flavie, écrasée par le poids de Rosalie, est incapable de bouger.
Elle sent le début de l'agression.
Toutes se régalent du dommage à venir.
Lolotte attend le signal.
Un coup de tonnerre éclate.
Jacqueline s'enfonce, d'un seul coup, au fin fond de Flavie.
Lolotte encule la mère supérieure, à contre-mouvement.
Le cri de douleur de Flavie parvient néanmoins à leurs oreilles.
Jacqueline entame son va-et-vient sans ménagement.
— Voir ce monstre enculer ce petit cul… Quelle volupté... Branle-toi bien, Sidonie et raconte-nous, bien fort, toi qui as lu son dossier… Je veux entendre tous les détails sur la vraie mère de Flavie... Je veux tout savoir sur elle pendant que j'encule la fille... Pendant que je me fais enculer et que je me délecte du cul de Rosalie...
Sidonie se masturbe, tout en racontant...
— La mère de Flavie est une mère indigne… De sa gamine, elle voulait s'en faire avorter. Le père l'ayant suppliée de la garder, elle ne savait pas quoi en faire... Les pleurs du bébé l'énervaient… Elle la giflait fréquemment pour se calmer... Elle avait envie de s'en débarrasser en simulant un accident de voiture. Puis, elle réalise, dès que la petite est en âge de marcher, qu'elle peut abuser d'elle… Elle force son enfant à la lécher... Prenant des amants, elle les laisse molester sa gamine... La petite Flavie suce des verges jusqu'à l'âge de sept ans… Un jour, le père apprend la déception... La maîtresse d'école s'est plainte que Flavie montrait des signes de sexualisation précoce... Elle s'exhibait dans les toilettes devant les petits garçons... Elle usait de mots avancés… Signes immanquables qu'elle était abusée chez elle... Découverte, la mère indigne doit en répondre... Divorcer… Perdre sa fille... Elle s'en fiche, complètement... Sans prévenir, elle part à l'étranger dans une communauté d'illuminés qui pratiquent l'occultisme... Elle se laisse baiser par le gourou et tous les membres de la secte... Elle avorte presque chaque année… Depuis, elle a disparu de la surface de la terre... On a maintenant la preuve qu'elle a servi d'offrande à un esprit cabalistique... Elle est morte, la salope..! Jetée sans cérémonie sur un dépotoir des Amériques… Personne ne va la regretter...
— Voilà une mère digne d'une petite catin comme notre Flavie... Mon dieu, quelle jouissance... Qu'en dis-tu, petite novice..?
— Je crois qu'elle s'est évanouie..., constate Rosalie.
En effet, Flavie est tombée en syncope.
— Alors, cessons pour le moment... Sidonie, occupe-toi de la réveiller... Je n'ai pas terminé avec elle.
Le groupe se défait.
Sidonie apporte des sels pendant que Rosalie retourne le corps de l'adolescente.
Couchée sur le dos, les jambes pendantes, Flavie est complètement inerte.
Du sang coule du maître-autel sur le sol de pierre.
Lolotte rallume quelques bougies éteintes.
Sidonie colle un flacon sous le nez de la victime qui se réveille brusquement.
— Tu n'as peut-être pas entendu la fin… Alors, je répète pour ton compte..., déclare Jacqueline, penchée au-dessus du visage de Flavie. Ta vraie mère est morte... Tu ne la trouveras jamais... Tu ne la verras plus jamais... Une femme indigne qui s'est servie de toi de la pire façon pour ensuite t'abandonner... Tu aurais mieux fait d'être avortée, petite catin..!
— Pitié..., souffle Flavie, pathétiquement, complètement épuisée.
— De te voir comme ça, m'excite derechef... Allons, il est grand temps de te dépuceler.
— Non… Je n'en peux plus…
— Mère supérieure, il serait préférable de prendre une taille moins épaisse cette fois-ci..., commente Rosalie, très inquiète de l'état de santé de Flavie.
— Certainement pas..!
— Elle… Elle risque de ne pas survivre..., ajoute Lolotte, tracassée.
— Tant pis pour elle..! Nous dirons à sa belle-mère, qu'ayant confessé le meurtre commandé de sa sœur, elle est morte de chagrin... Cette femme ne veut pas d'elle, de toute façon… Elle en sera ravie... Allons, je veux l'enconner seule… Vous trois, grimpez sur l'autel... Branlez-vous au-dessus de Flavie et, au moment de sa mort, vous lui pisserez dessus...
Flavie entend les ordres sans pouvoir se défendre.
Elle est trop épuisée.
La force physique d'une limace...
Jacqueline, la verge énorme autour de la taille, se met en position.
Les trois bonnes sœurs s'agenouillent sur l'autel autour de Flavie.
Lolotte est au-dessus de son visage.
— Souhaitez-vous un peu de lubrifiant, ma mère..? demande Sidonie.
— Inutile… Le sang qui coule du cul de Flavie est suffisant... Regardez comme j'en enduis cette belle verge... Rien de mieux pour une petite pucelle de quinze ans…
Jacqueline écarte les cuisses de Flavie au maximum.
Son con s'offre à l'énorme mandrin.
La religieuse avance.
Elle pénètre doucement.
Flavie réagit de douleur.
L'horreur de la scène est pourtant inévitable.
La verge monstrueuse s'enfonce loin, tout au fond d'elle.
Flavie ne voit plus que les yeux de ces femmes, excitées par son immolation.
— Foutre de bordel de dieu de merde... Je jouis comme jamais… Flavie, tu as le plus beau con de la terre... Et, il est vrai que dans cet instant, j'aimerais être un homme pour mieux te souiller...
Les dernières forces de Flavie l'abandonnent.
Tout s'assombrit…
— Regardez mes sœurs comme elle pisse le sang par devant... Une véritable fontaine… Ah, quelle folie..! Je jouis… Branlez-vous bien, vous aussi… Et, préparez-vous au dernier outrage...
Flavie a un dernier sursaut de lucidité.
Elle entend...
— Allez-y, pissez mesdemoiselles..! Pissez sur cette petite chiure... Personne n'en a jamais voulue...
Un courant d'air violent traverse la chapelle.
Flavie s'éteint.